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U né apprenti salopeJe suis une salope. Je me souviens clairement de ce moment où je dus me résoudre à me reconnaître comme tel. Cela m’est venu naturellement. La tentation de m’y opposer ou d’en éprouver un peu de honte m’effleurèrent à peine. Il faut dire que mon comportement de la veille et le témoignage cru et brut des sens n’allaient pas en ce sens. Je n’avais pas peu été étonné de ma complaisance voire de ma soumission à l’égard de ses deux bons hommes. Ceux-ci il est vrai en imposaient. L’un était mon patron et l’autre un client dudit patron et non moins patron aussi d’une belle PME allemande.A cette foire d’Hambourg, venue en quelque sorte dans les bagages de mon patron pouvais-je vraiment m’opposer à quelque chose. Je jouais en cette matière à l’ingénue nantie de mes vingt- ans.Mon physique ne passant guère inaperçu. Quelque part être jolie devient un poids et une corvée. Vous apprenez à devenir une proie ou un objet de convoitise. Certaines à bon droit s’en offusquent. Moi je n’eus quasiment pas le temps de me poser de telles questions. Je suis passée fort vite à la casserole et le sort qui m’a été fait, m’a très vite, trop vite comblé et épanoui. J’ai pris mon pied.Troublante révélation. Autant mon dépucelage entrepris par un camarade de lycée avait été pénible et laborieux, autant cet ouvrier de mon père qui me prit un jour de force et fut un temps mon amant me fut une formidable révélation. Lui-même me confirmât : « Tu es fait pour le sexe. » dit-il un jour ce en remontant son pantalon. Il est vrai j’avais appris fort vite entre ses bras. On eût dit que tous ces gestes je les avais appris déjà dans une autre vie trahissant dans mes ébats comme une sorte de réminiscence. J’eus droit à cet égard de mon amant cet autre propos : «Tu finiras sur le trottoir. »Ce soir-là à Hambourg on avait fait fort. J’étais devenue depuis un an la maîtresse en titre de mon patron. Ce qui me pesait c’était l’hostilité des collègues jaloux dont des femmes qui m’eurent volontiers supplanté dans ce rôle. J’avais beau expliqué que je n’avais guère allumé cet homme et qu’il m’avait spontanément dragué et attrapé, elles n’en voulaient rien croire. De toute façon je n’avais cure de son statut. Tout simplement il me prenait bien. J’adorais le matin qu’il m’oblige entre ses cuisses à le sucer tandis qu’il passait ses premiers coups de fil. J’adorais bursa escort sa queue en ma bouche.Après cela finissait par un coït hâtif sur le bureau. Des fois il lui prenait fantaisie de m’ordonner d’abandonner ma culotte dans son tiroir et de me balader toute la journée ainsi dans les bureaux. Je tremblais qu’on ne s’en aperçut et m’astreignait à toutes sortes de stratégies pour ne pas me baisser ou écarter les cuisses intempestivement. En début de soirée j’obtenais que la culotte me fut restituée après une bonne pipe et un coup de bite dans le cul. Ce type était un porc. On m’en raconta beaucoup sur mon compte et dont il me fit la confidence des fois. Il était pire qu’un libertin.Ce jour-là à Hambourg après une soirée trop arrosée nous nous trouvâmes je ne sais comment dans une de ces rues sulfureuses où sévissent des putes et dont se font spécialité nos amis du Nord et d’Outre-Rhin. J’étais toute flageolante sur mes guibolles car encore prise par l’alcool. Je n’en étais pas moins stupéfaite et éblouie par l’ambiance et ses filles magnifiques offertes à la concupiscence de tant de mâles. D’emblée les enviais-je. Sorte de stars en gloire sur leur piédestal. Elles étaient fantastiquement déguisées. Je rêvais un jour de les imiter me vêtant et me grimant comme elles.A un moment nous échouâmes dans un sex-shop. On y vendait entre autres des tenues hot et sexy. Notre choix tombât bientôt sur une paire de cuissardes en vinyle et une paire d’escarpins pointus noirs à talons de 12 cm. Du moins fut-ce à l’initiative des deux bonhommes. Ils m’obligèrent de les essayer et de m’exhiber ainsi au-devant d’eux. Ils furent en joie et acquirent illico lesdits articles et bras-dessus dessous nous nous en retournâmes à l’hôtel y entraînant notre allemand. Mon patron déchaîné escomptait y ouvrir là-bas une bouteille de champagne et entreprendre tant de choses.Je n’étais pas moins excitée. J’admis volontiers d’enfiler mes cuissardes arborant toujours une jupe courte de tailleur suivant les prescriptions d’un patron qui ne se lassait jamais d’admirer mes belles cuisses et de me caresser subrepticement les fesses. Dans le miroir je fus éblouie moi-même du spectacle que j’offrais. L’allemand à ce moment me fit la surprise d’extirper de dessous une flamboyante perruque rouge qu’il avait là-bas acheté à notre insu. J’en fus aussitôt coiffée. Et miracle j’apparus bursa escort bayan semblable aux prostituées de là-bas et que j’avais tant admiré. Étant des leurs.Le bouchon de champagne sauta. La mousse en jaillit en un geyser et dont il n’échappa à personne le sens métaphorique évoquant une chose bien précise. Mon patron m’avait pris déjà sur les genoux et m’embrassait goulûment et sans façon sur la bouche devant notre autre cochon. Là il ne se contraignit plus. J’étais ici adoubée pute plus que collaboratrice. L’alcool a toujours eu quelqu’effet néfaste sur moi. La réservée et timide accouche d’une affamée de sexe et de plaisir. J’aspire alors à être prise et d’att****r une bite dans ma bouche, mon cul ou ailleurs. Mes porcs en gloussaient.Outre que sa main me pelotait les nichons que j’avais fort beaux celle-ci impunément s’enfonçait dans la culotte et me pétrissait la chatte. J’étais au comble du désir. Bientôt je fus déshabillé hors les cuissardes et les Dim-up conservés. Le patron s’était enquit de me jeter sur le canapé et de me lécher tantôt la moule tantôt le cul devant l’ami allemand. Tout cela m’excitait au plus haut point. Je n’aime rien tant que d’être exhibée devant un tiers et de savoir fascinée qu’il bande pour moi. Il est maintenant concevable qu’un jour j’arpenterais un certain trottoir avec d’autres filles.En l’occurrence peu après j’avais la queue du patron dans la bouche et je tentais tant bien que mal d’en honorer l’objet afin de contenter son propriétaire. Le boche en face goguenard grillait une cigarette et manifestement éméché avait machinalement extirpé sa queue du pantalon commençant à se branler dans le cadre du spectacle. Le patron un peu provo releva que cette queue allemande était un peu faiblarde et plus modeste que la sienne et devait en cela être secourue. Bref il me poussa à aller sucer à la crèmerie d’en face. Il fronça même le sourcil m’obligeant à obéir et obtempérer.Ce gros boche me répugnait pas mal. Il est vrai que j’avais eu la même réticence avec mon ouvrier d’antan qui pour viril qu’il était n’était pas pour autant un lumineux Apollon. Il est singulier chez moi que dans un premier temps j’éprouve une légitime réticence à aller à un vieux porc gros et moche et que dans l’instant suivant une autre part de moi me pousse à m’offrir et faire la pute audit énergumène. J’en conçois une görükle escort trouble et perverse jouissance. Bref je suscitais bientôt des grognements du teuton. Son œil vagissait trop content de cette jolie garce qui lui pompait le nœud.Pour la suite le boss m’entraîna dans la chambre intimant l’allemand à nous suivre. Il voulait faire démonstration à celui-ci de ce qu’on infligeait en France à une salope. Ainsi fus-je pris sauvagement en levrette. Il m’encula ensuite sans ménagement. La douleur heureusement s’en mua bientôt en une jouissance d’humiliation. Il éjaculât. Puis ordonnât à l’allemand de prendre le relais et de montrer son savoir-faire avec une putain. Notre boche mit du temps à se chauffer et à obtenir une semblable vigueur. Il ne m’enculât pas moins férocement. Je n’avais jamais eu autant un anus explosé.L’orgie se poursuivit toute la nuit. Pris tour à tour par deux hommes et quelquefois ensemble, je dormis tant bien que mal. Au matin ils arguèrent que leur érection était au beau fixe pour user et abuser encore de moi. J’avais du foutre plein, le ventre, la chatte et le cul. C’était une horreur comme j’étais souillée. Je me rappelle à un moment de répit, je pus m’enfuir enfin sous la douche pour me restaurer et me ranimer. Le cochon d’allemand peu après m’y rejoint. Il m’embrassa pleine bouche. Je dus le sucer afin d’obtenir qu’il me laissât seule sous l’eau jaillissante.J’étais peu fière d’avoir appartenu à ces hommes et de leur avoir offert un piètre aspect de ma personne. Surtout je ne supportais les libertés de mon teuton lequel sans vergogne me tripotât les cuisses devant tout le monde. Le type à l’accueil de l’hôtel mesura sans peine ce que j’avais pu faire la nuit avec ces hommes. Je le voyais volontiers s’exprimer avec les autres parlant de moi en pute. Je rasais les murs dans les couloirs. Le boss assuré qu’un contrat put être signé m’expliqua que je devais passer la nuit avec Franz. Nous convînmes qu’il me baisât avant et me soûlât que d’y aller.Je parvins là-bas bourrée et assez excitée. En effet j’eus baisé avec le premier venu en une telle circonstance. Mon boche se régalât ces derniers soirs. D’une certaine façon je pris goût à la chose ou du moins fis-je allégeance à mon nouveau maître par ailleurs généreux car j’eus droit à du parfum et même aux bijoux. Il me souffla que si je venais chez lui à Francfort, il me réserverait sa garçonnière et me cajolerait à tous les sens du terme. Quoiqu’il soit notre contrat fut signé. Le patron était content. Mon Franz complètement énamouré. Au retour j’eus du boss ce SMS : A ma championne !

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