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Le lendemain, j’ai une hésitation,
– Aujourd’hui on pourrait changer notre fusil d’épaule, et aller visiter la Citadelle?
– Si tu veux , répond Marie-Cécile avec indifférence, mais nous avons rendez-vous avec le type de la plage, non? C’est un peu grossier de ne pas y aller, tu ne crois pas?
– Hum, tu as raison, dis-je mi- inquiet, mi excité.
Trois quart d’heure plus tard, nous marchons sur le sable fin vers l’extrémité de la plage. Marie-Cécile porte un très joli tanga rouge que masque à peine un paréo vert pale noué sur sa grosse poitrine qui oscille lourdement au rythme de ses pas. Effet garanti comme j’ai pu le constater avec un poil de gêne en passant devant la paillotte. Le patron avait les yeux exorbités.
Je l’ai fait remarquer à ma femme qui m’a répondu en bougonnant.
– Faudrait savoir ce que tu veux. Hier tu étais tout content que je me mette à poil! Et je reconnais que si j’étais réticente, avant, maintenant cela ne me gène plus. Enfin tant qu’on est sur une plage nudiste.
Je grommelle quelque chose et dois reconnaitre qu’elle n’a pas tort. Le problème c’est que ça m’excite de savoir que les autres la désirent, mais je voudrais contrôler tout ça.
Ah, je vois que le bateau est ancré au même endroit qu’hier et sur la plage, Paul semble nous attendre. Ouf, il n’est pas à poil et porte un maillot de bain bermuda, Vilebrequin évidement, à motif de coquillages, et un t-shirt un peu fatigué de la course de l’EDHEC.
– Bonjour, nous lance-t-il jovialement, en louchant sur les énormes melons de mon épouse qui sont bien visibles sous le paréo. Je me demandais si vous alliez venir..
– Bonjour, répond aimablement ma femme qui ne semble pas s’apercevoir de son regard appuyé, vous nous attendiez depuis longtemps?
– Non ne vous faites pas de bile, vous êtes parfaitement à l’heure et c’est le moment idéal pour aller faire de l’apnée. Il ne fait pas encore trop chaud, pas un pet de vent et l’eau est cristal claire! Et puis, cela me fait plaisir de faire découvrir cet endroit. J’y allais souvent avec ma femme dans le temps dit-il d’un ton triste.
– Oh, elle est morte? demande Marie-Cécile naïvement.
– Morte? Ah, non, elle est partie avec un autre, Enfin bon, je ne vais pas vous barber avec mes histoires!
Marie-Cécile le regarde avec compassion puis s’inquiète
– Ce n’est pas trop loin? J’ai peur d’avoir le mal de mer.
– D’abord c’est à vingt minutes maximum et puis par ce temps, impossible d’être malade, répond Paul avec un gros rire. Mais rassurez-vous, au cas où, je vais vous donner un remède infaillible quand nous serons à bord. En attendant, donnez moi votre gros sac et comme je ne veux pas amener le bateau plus près, il faut se mouiller un peu au dessus de la taille pour embarquer. Venez donc.
Nous avançons dans l’eau qui me paraît un peu fraîche, mais l’arrière du bateau est à une vingtaine de mètres et lorsque nous parvenons à l’échelle, l’eau nous arrive à peine aux épaules.
– Allez, grimpez, dit Paul qui nous fait signe de le précéder.
Je passe en premier et tends une main secourable à Marie Cécile qui ne se rend pas forcément compte que son paréo trempé offre un spectacle obscène. De fait sa croupe est parfaitement dessinée par le léger tissu qui est devenu quasi transparent et souligne l’aspect minuscule de son tanga. Paul encore dans l’eau n’en perd pas une miette et je devine que son bermuda gonfle un peu.
Il embarque à son tour et nous voilà tous les trois à l’arrière de la vedette. Il y a un instant d’entre deux où chacun est mutique et puis mon épouse se lance.
– Oh, c’est plus grand que je ne le pensais, je peux visiter?
– Mais bien sûr, ce n’est pas très grand en réalité, mais disons que c’est un modèle confortable. Venez voir, répond aimablement notre hôte.
Paul descend dans la cabine suivie de mon épouse et moi-même. Le carré est assez vaste avec un coin cuisine, deux éviers tout de même, une table à cartes et un bel espace salon avec des banquettes qui ont l’air moelleuses.
– C’est hyper-pratique, s’extasie Marie-Cécile
– Oui, enfin, c’est spartiate, mais il y a tout ce qu’il faut, douches, WC et deux cabines. Là-bas au fond, c’est la cabine du capitaine, nous dit-il en ouvrant une petite porte à l’avant qui donne sur un espace assez vaste mais bas de plafond, avec un grand lit double et un hublot panoramique donnant sur la plage avant. Et à l’arrière vous verrez une petite coursive qui donne sur une cabine pas très grande mais honnête.
– Génial, dit ma femme, on peut traverser la Méditerranée avec ça?
– On peut faire plein de chose, dit Paul qui la mate l’air de rien, aller en Sardaigne en deux heures, dormir dans des criques isolées..
– Quel bonheur s’exclame Marie-Cécile, avec kütahya escort un poil d’envie.
– En attendant, reprend Paul, remontez sur le pont, il fera meilleur et je vous rejoint dans une minute avec un petit truc anti mal de mer!
Tandis que je m’installe sur les coussins de la plage arrière, Marie Cécile jette un regard pour vérifier que Paul ne peux pas la voir. Ne le voyant plus, elle dénoue rapidement son paréo mouillé et enfile, aussi prestement que ses gros nénés le permettent, un t-shirt sec puis enlève son tanga et tord un peu ses hanches pour faire passer un mini short rose. J’en profite pour faire une ou deux photos et m’aperçois que Paul en contre-plongée dans son carré n’a rien perdu du spectacle. Marie-Cécile ne s’est aperçue de rien, et la tête de Paul disparaît à nouveau. Quelques minutes plus tard il remonte avec un verre coloré rempli d’un cocktail ambre avec une petite paille piquant un morceau d’ananas.
– Tenez, dit-il en lui tendant le verre. Vous allez voir, ajoute-t-il, c’est souverain.
Puis il se tourne vers moi en me disant impassible
– moi aussi j’adore la photographie..
Je jette un coup d’oeil à Marie Cécile, mais elle n’a pas l’air d’avoir entendu et sirote son verre.
– C’est délicieux, dit-elle, mais j’espère que ce n’est pas alcoolisé, à cette heure-ci, je serais vite un peu pompette, ajoute-t-elle avec une petite moue.
– Mais non, dit Paul, enfin à peine, mais je vous jure que vous allez vous sentir sur un nuage.
Puis il se tourne vers moi avec un clin d’oeil et me dit :
– Pour vous c’est inutile, j’imagine que vous avez le pied marin!
Je bafouille quelque chose d’inaudible mais il ne m’écoute pas et se penche sur le poste de pilotage pour mettre le contact.
– Bougez pas, maintenant, je file à l’avant lever l’ancre, dit Paul en nous faisant un signe de la main, et ensuite vogue la galère!
Quelques instants plus tard, le cliquetis de l’ancre se fait entendre et Paul revient dans le cockpit et le bateau s’élance.
– C’est compliqué à piloter? demande Marie-Cécile qui a les joues un peu rouges et me semble comme une enfant devant un nouveau jouet.
– Mais pas du tout, dit Paul, venez à mes côtés, si votre mari l’autorise bien sûr, je vais vous montrer comment on fait, c’est un jeu d’enfant!
Marie-Cécile me regarde et je hausse les épaules :
– Tu fais comme tu veux ma chérie!
– À la bonne heure. Votre mari est pour les nouvelles expériences, c’est bien, ça! dit Paul, venez donc.
Marie Cécile s’approche toute contente du poste de pilotage et Paul lui fait une place sur son siège.
– La banquette du capitaine est large, prenez place.
Marie Cécile s’installe et Paul lui indique le volant.
– Tenez le
– Oh, vous croyez, minaude un peu Marie-Cécile, mais je ne l’ai jamais fait!
– Mais si, mais si, faites, vous dis-je. Regardez ; moi j’ai lâché et si vous ne faites rien, on va droit sur le voilier là-bas et ils ne vont pas être contents si on va à l’abordage!
Marie Cécile prend le volant timidement et Paul satisfait se tourne vers moi :
– Pendant ce temps là, Charles Édouard auriez-vous l’amabilité d’aller relever les pare-battages.
– Ah oui, bien sûr, dis-je avec empressement, désireux de montrer à mon épouse que je sais me débrouiller sur un bateau
– Et maintenant ma chère, augmentez un petit peu la vitesse, dit Paul en indiquant le joystick de manoeuvre.
– Mais comment, dit Marie-Cécile d’une petite voix.
– Vous inquiétez pas, je vous montre. Mettez-vous debout, vous serez plus près du volant et moi je suis derrière vous. Gardez votre main gauche sur le volant et faites en sorte que l’avant du bateau soit toujours dirigé vers la pointe rocheuse que vous voyez là-bas. Maintenant, placez votre main droite sur le joystick. Voilà, très bien.
Je vois depuis le pont avant que Paul est juste derrière ma femme, bien collé il me semble. Il a placé une main sur son épaule gauche et l’autre sur sa main droite pour accompagner son mouvement sur le joystick. Le bateau accélère un peu brutalement et heureusement que je suis accroupi et bien accroché au bastingage.
Marie-Cécile pousse un petit cri mais Paul lui fait diminuer la vitesse. D’où je suis, il me semble qu’il est vraiment serré contre elle et je vois que ses mains viennent maintenant se poser sur ses hanches. Elle est tellement à son affaire de pilotage qu’elle ne doit pas s’en rendre compte.
Je reviens quand même assez prestement dans le cockpit et Paul s’éloigne de ma femme en souriant.
– Vous voyez, dit Paul, c’est très simple!
Il se tourne vers moi et je constate que son maillot de bain est déformé par une barre à mine. Il me sourit ostensiblement manisa escort et je ne peux m’empêcher encore une fois de rougir.
– Votre femme se débrouille très bien, mon vieux!
Le bateau file assez vite et Marie Cécile pousse de petits glapissements de joie en recevant des embruns. Sa longue chevelure brune est maculée de gouttelettes d’argent et elle a la bouche entrouverte et les yeux concentrés sur sa route. Lorsque nous croisons le sillage de vagues laissé par une grosse vedette, notre bateau saute un peu et ses siens rebondissent magnifiquement. Comme elle se tient toute cambrée, son cul tend son minishort comme un spinnaker vent arrière. Le spectacle est bandant au possible.
– J’adore, dit-elle, et je n’ai pas du tout le mal de mer! Ça doit être votre truc à boire, c’est génial et très bon en plus!
– Ah, dit Paul en souriant, je vous en ressert un?
– Euh, je suis pas sûr, dis-je, mais mon épouse me coupe :
– Oh oui, je sais pas ce que vous avez mis dedans mais je pète la forme! puis elle ajoute : on devrait avoir un bateau comme ça mon chéri!
Tu parles me dis-je en suivant du regard Paul qui redescend au carré. Il a les moyens ce salaud. Il revient aussitôt avec un verre identique au précédent qu’il tend à ma femme. Celle-ci s’en empare avec un grand sourire de remerciement et avale une bonne rasade.
– humm, décidemment j’adore, et vous vous ne buvez rien?
– C’est vrai, dis-je, un peu acide, on ne boit rien, nous les hommes?
– Pas la même chose mon cher, pas la même chose, mais bientôt. Vous voyez les deux ilots sur tribord? Nous sommes presque arrivés, alors buvez vite, dit-il à ma femme, et
moi je reprends le contrôle dit Paul aimablement.
Mon épouse lui cède la place et vient se coller à moi. Elle se frotte; c’en est presque gênant, on dirait qu’elle est en rut, je ne l’ai jamais vu comme ça! Sans être prude, ma femme est tout de même du genre réservée, enfin disons un peu distante. Mais là, elle ne semble pas s’apercevoir de son inconvenance et ses yeux me paraissent à la fois brillants et comme s’ils avaient du mal à accommoder.
Paul ralentit le moteur et derrière les deux premiers îlots, nous voyons apparaître un troisième îlot jusque là caché. Paul stoppe maintenant le moteur et nous filons sur notre erre vers une petite anse avec de gros rochers de granit lisses qui surplombent notre bateau parfois de plusieurs mètres et une plage de sable doré minuscule derrière laquelle s’élève en pente assez raide une petite colline de maquis et de garrigues. L’eau est cristalline sous la coque et en nous penchant, nous voyons filer des sars et des mulets.
Paul manoeuvre avec habileté et nous voilà à l’ancre. Il attend un peu pour vérifier que le bateau ne chasse pas, puis se tourne vers nous.
– Et maintenant, baignade! Ensuite, le verre promis et pour le déjeuner, malheureusement il n’y a pas d’oursins mais un ami pécheur va passer nous apporter une ou deux belles langoustes qu’il fera cuire sur la plage, le programme vous va?
– Merveilleux, dit Marie Cécile, on peut aller plonger alors?
– Oui, vous trouverez tout ce qu’il faut dans le coffre arrière, tuba, palmes et masques. Servez-vous. Moi je vais déjà nager un peu.
Paul se dirige vers l’arrière, enlève sans façon son maillot de bain. Il reste un instant devant nous. Son ventre est un peu proéminent mais je dois dire qu’il a les épaules tombantes mais larges, un poitrail velu et puis, je suis fasciné par son gros sexe. Ce salaud est monté comme un âne du Poitou. Mon épouse aussi visiblement puisqu’elle regarde le spectacle de ce faune ventripotent bouche bée avant de se détourner en rougissant sous son hâle.
– Allez, faites pas cette tête, dit Paul, c’est comme sur la plage. Ce n’est pas comme si on avait des choses à se cacher, ajoute-t-il avec un clin d’œil à mon intention que je trouve égrillard.
Puis il plonge dans l’eau claire et entame un crawl puissant.
Marie-Cécile me regarde en haussant les sourcils. Puis elle se décide, retire son minishort et son t-shirt et va ramasser un tuba, des palmes et un masque. Quelques instants plus tard elle se dirige en canard vers l’arrière et s’apprête à sauter dans l’eau. Je ne peux m’empêcher d’immortaliser ce spectacle avec mon iPhone. À poil dans cette tenue, avec sa croupe bombée et ses gros seins, elle est à la fois un peu burlesque et puissamment érotique. J’ai instantanément la gaule. Je me mets à poil à mon tour et moi-aussi muni d’un masque et d’un tuba, je plonge dans l’eau délicieuse. Nous faisons de l’apnée dans notre coin Marie Cécile et moi. Quand je lève la tête au dessus du très léger clapotis, je ne vois pas trace de Paul. Peut-être est-il allé préparer un feu sur la plage pour notre repas puisque mardin escort je vois une petite fumée qui s’élève depuis une sorte de grotte en bas de la colline. Au bout de 45 m à nous balader ainsi en observant les poissons, Marie-Cécile me fait signe qu’elle rentre. Je baguenaude tranquillement quelques instants de plus puis décide de rentrer à mon tour. En regardant du côté du bateau qui est à une centaine de mètres. Je vois que Marie-Cécile y est presque. Et Paul, d’une brasse puissante, arrive non loin derrière.
Tout en nageant à mon tour un peu plus vite j’observe que Marie Cécile grimpe la petite échelle de bain à l’arrière avec Paul qui se met juste derrière elle. Le salaud doit profiter de la vue à fond. Il faut dire que la position favorise l’observation. La vulve de ma femme est quasiment sous son nez. En plus, Marie Cécile rate un barreau de l’échelle en voulant déposer sa paire de palmes. Paul prévient sa chute en lui empoignant les hanches et j’ai l’impression qu’il en profite pour fourrer son gros pif entre ses fesses avant de la pousser vers le haut. Marie Cécile pousse un petit oh et se hisse d’un coup de reins sur le pont arrière.
– Dessalez-vous avec la douchette, lui dit Paul. Oui, là sur la gauche.
Lorsque j’attrape le premier barreau de l’échelle, un peu essoufflé par ma nage, Marie-Cécile a le dos tourné et se nettoie avec la douchette. Elle est à poil devant un quasi inconnu et cela n’a pas l’air de la déranger. Tout de même, je ne reconnais pas ma femme. La voilà qui pousse un petit soupir de plaisir en faisant glisser l’eau douce sur ses épaules.
– Ah, c’est délicieux!
Elle a l’air un peu schlass.
Paul, attend son tour en surplomb, trois serviettes de bains blanches à la main. Il me regarde avec un petit air calculateur. Son sexe heureusement n’est pas en érection, mais vu d’en dessous, il me semble encore plus monstrueux.
Marie Cécile repose le pommeau de douche et il lui tend une des serviettes puis se tourne vers moi.
– Allez-y mon vieux, je peux attendre.
Tandis que Marie-Cécile se sèche, je prends à mon tour une douche effectivement délicieuse. Lorsque j’ai terminé, Paul me tend silencieusement une serviette.
Marie Cécile entre temps a changé de tenue et enfilé un débardeur et une jupette ultra courte. Sa tenue est indécente et je ne suis pas sûr qu’elle ait mis une culotte ou même son tanga mais au moins elle porte quelque chose.
– Mettez-vous sous le tau, je prends ma douche et je suis à vous. Il entreprend à son tour de se dessaler tandis que nous nous installons sur les coussins blancs à l’ombre. Marie-Cécile se serre contre moi et me chuchote à l’oreille.
– Tu sais, je me sens hyper bien, quelle chance on a et Paul est si gentil!
– Oui, oui, tu as raison, mais il faut que tu fasses attention au soleil, ne te déshabille pas trop.
– Ne t’inquiète pas mon chéri, ça va très très bien, jamais je n’aurais cru être si à l’aise en tenue d’Eve ajoute-t-elle en pouffant. Puis son regard se porte sur une barque à moteur qui s’approche doucement.
Oh, regarde, un pêcheur.
Paul qui a terminé de prendre sa douche s’approche, une serviette heureusement nouée autour de sa taille. Il fait un signe à un homme, la cinquantaine noueuse, debout dans la barque.
– Oh, Dominique, ça va?
– Ça va, répond l’homme qui a un type corse prononcé avec une barbe de trois jours et un vieux t-shirt troué. Je t’ai amené deux belles langoustes., ajoute t’il en montrant un vieux seau dans laquelle deux crustacés bougent leurs antennes.
Marie-Cécile se lève et se penche pour mieux voir.
– Bonjour Madame, lui dit le Dominique en question en matant les tétons qui tendent le débardeur mouillé au niveau des seins de ma femme.
Il approche habilement sa barque en contrebas de Marie-Cécile et s’accroche d’une main au plat bord et de l’autre sort une langouste du seau pour la brandir sous le nez de Marie-Cécile
– oh, magnifique, cela donne faim dit-elle fascinée par la langouste. Pendant ce temps-là le pécheur se passe la langue sur les lèvres de façon totalement obscène en matant ma belle bourgeoise de femme.
Paul voit que je fronce les sourcils et se marre puis interpelle Dominique.
– J’ai préparé un feu dans la grotte, tu nous les fait cuire mais d’abord viens prendre l’apéro.
– Passe donc ton seau à Madame et amarre-toi au bateau.
Marie Cécile se penche pour attraper le seau que lui tend le vieux corse qui a du mal a ne pas mettre la main sur les gros seins qu’elle lui montre dans sa position. Le spectacle qu’elle offre de notre côté n’est pas moins excitant. En se pendant sa jupette remonte et dévoile une partie de son cul et sa jolie chatte entrouverte. Paul s’est approché et s’assied derrière Marie-Cécile, le regard fixé sur les lèvres roses dans leur écrin de cresson touffu. Il a une grosse érection qu’il ne cherche pas à cacher. Moi même, je sens ma pine qui se lève et ne sais plus ce qui en est le plus responsable, du cul de ma femme ainsi offert ou du désir du gros porc qui m’excite.
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