Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Henri et Colette (Lue sur le net)Henri et Colette (1)Quand j’ai fait la connaissance d’Henri je ne me doutais alors pas de ce que j’allais vivre quelques mois assez particuliers. J’avais alors 28 ans quand j’ai rencontré Henri dans un petit bois d’une aire de repos d’autoroute, c’est au mois de juillet et c’est complètement nu que je le suce à deux heures du matin. Il a une bite d’enfer, très dure, longue et épaisse, elle dégage une impressionnante sensation de puissance, de force et de virilité. Il fait nuit claire et je peux ainsi distinguer son corps et son visage, il est grand et costaud, il est très poilu, il doit avoir entre 40 et 50 ans. Ça fait bien une demi-heure que je le pompe, d’habitude je les fais dégorger plus vite mais celui-là me semble particulièrement endurant !— Tu te fais enculer ?Il a une voix rocailleuse et semble assez autoritaire et justement j’aime les mecs dominateurs, je cesse ma fellation et en signe d’acceptation et de soumission je m’installe à quatre pattes, les cuisses bien écartées. Il me tient par les fesses et je sens alors son gland brûlant contre ma rondelle, il lubrifie sa queue avec sa salive et en fait de même pour mon trou, il y enfonce un doigt et constatant sa souplesse le remplace aussitôt par son mandrin et il me le met d’un seul coup ! Bien qu’habitué je le sens quand même passer et ne peut retenir un cri rauque, maintenant il me maintient fermement et me lime de plus en plus fort, sa queue va et vient régulièrement dans mon rectum dilaté, je la sens parfaitement quand elle me remplit les entrailles et que les grosses couilles claquent sur les miennes à chaque coup de rein. Il émet des râles et des cris de contentement, malgré l’heure il fait encore chaud et mon corps est ruisselant de sueur, la queue va et vient et je prends vraiment mon pied ! Je me demande s’il va jouir avant le lever du soleil, il est vraiment extraordinaire et je n’avais alors jamais rencontré un amant aussi performant, un vrai étalon ! Enfin il se retire et me fait me retourner il enfonce son gland dans ma bouche.— Allez salope nettoie maintenant !Je le suce alors et soudain je sens que son foutre chaud qui se déverse sur ma langue, un goût très fort et très agréable, je n’avale pas tout de suite, il a une décharge longue et très abondante, il me tient la tête tout en me remplissant la bouche. Il me la remplit d’ailleurs complètement et quand il retire sa queue je ferme bien mes lèvres pour ne pas en perdre une goutte, je le goûte encore quelques secondes et déglutit enfin, il me regarde faire en souriant.— Tu es une sacrée salope, j’ai rarement connu des mecs ou des nanas comme toi, on peut se revoir ?— Pourquoi pas !— T’habites où ? Moi je suis à Draveil.— J’habite alors Longjumeau, c’est à dix minutes de voiture.Il me donne son numéro de téléphone et je lui donne le mien et nous convenons de nous rappeler vendredi soir.— Tu m’en taille une autre ?Je n’en reviens pas mais je vois sa queue reprendre alors une magnifique érection et ce à peine trois minutes après avoir joui !C’est samedi après midi que nous nous revoyons donc chez moi, bien que dominateur Henri est très sympathique et s’il aime que je sois soumis à ses ordres il n’est pas violent. Il ne s’embarrasse pas de préambules, il est très direct et c’est sans hésiter qu’il me propose pour commencer un détour dans ma salle de bains, nous montons dans la baignoire et je m’agenouille à ses pieds.— Tu veux boire ou je t’arrose ?— J’aime les deux mais je préfère boire directement.Je prends alors sa bite encore molle dans ma bouche, sa pisse chaude jaillit aussitôt et bien que je déglutisse le plus vite possible le liquide s’échappe et se répand sur mon corps, son urine est de couleur ocre et elle est très salée. Il s’est sans doute retenu de pisser depuis ce matin car c’est largement plus d’un litre qu’il me déverse dans la bouche et sur le corps. Il ne m’a pas demandé si je pratiquais l’urolagnie mais il est clair que mes agissements de chienne et de pute de la nuit dernière lui ont fait deviner que j’étais suffisamment vicieux pour accepter les pires perversions ! Je n’ai pas l’intention de le décevoir.Tout l’après midi je vais le sucer et me faire mettre sans pratiquement aucune minute d’arrêt, je ne pensais alors pas qu’un homme puisse se révéler aussi viril. Il peut rester plus d’une heure en érection et reprendre une sérieuse bandaison quelques minutes seulement après avoir décharger, à cette époque jamais je ne m’étais fait ainsi reluire !Il doit rentrer chez lui à 20 heures car il est marié et a des enfants, une fille et un garçon, en riant il me dit :— Ma femme est au courant de mes escapades avec les mecs, elle me laisse faire mais il faut pas abuser quand même !Je comprends et après près de 6 heures de baise je suis trop épuisé pour reprendre une drague sur l’autoroute ! Le lendemain dimanche le téléphone sonne juste avant midi, c’est Henri.— Ma femme et mes enfants veulent aller au cinéma à Paris cet après-midi et comme ils savent que je déteste le cinoche… Tu est libre ?Je le suis mais même dans le cas contraire je le serai devenu… Une queue pareille ça mérite des mensonges ! C’est à 14 heures qu’il arrive et il me prévient qu’il doit impérativement repartir avant 18 heures.— Je ne voudrais pas que mes enfants se doutent de quelque chose en me voyant trop souvent absent, ils ont 15 et 17 ans quand même.Il pose sur la table un sac de tennis.— J’ai amené des accessoires, j’aime les mecs travestis en femme !Je n’avais encore jamais fait ça mais il ne me demande pas mon avis, il sort de son sac des bas noirs, rouges et blancs, des porte-jarretelles, une perruque blonde, une mini-jupe, un chemisier, des petites culotes des chaussures talons à aiguilles et du matériel de maquillage, la totale quoi ! Dix minutes plus tard je suis une femme, je ne me trouve pas terrible mais si ça l’excite c’est l’essentiel. Nous nous asseyons sur le canapé et il me caresse comme il le ferait avec une femme, sa main glisse doucement sur ma cuisse habillée d’un bas noir très soyeux et finalement je découvre que ça me plaît plutôt et que ça m’excite même car je bande dans ma petite culotte rouge.Après m’avoir longuement peloté les fesses il me fait agenouillé entre ses cuisses, il est encore habillé et je dois doucement lui ouvrir la braguette pour en extraire sa belle nevşehir escort verge dressée, tout en le suçant je laisse sur la peau de sa queue des traces de rouge à lèvres, c’est assez troublant… C’est dans la chambre qu’il veut me baiser, il remarque alors les godes qui décorent la table de nuit, il y en a un particulièrement très impressionnant, plus de 30 centimètres de longueur et 8 de diamètres, il siffle.— Ouah ! Tu t’enfiles ce machin dans le cul ? Ça m’étonne pas que ma bite rentre aussi facilement dans ton trou de salope !Je lui explique que je n’utilise le plus gros que depuis une quinzaine de jours et que je suis plus habitué à un autre de taille quand même plus modeste.— On verra plus tard pour l’instant j’ai envie de t’enculer !Pour m’enfiler il soulève ma jupette et écarte le fin tissu de la petite culotte pour dégager ma rondelle, il me lime alors, j’ai le visage écrasé contre l’oreiller et tandis que sa queue me laboure les intestins Henri me traite de tous les noms de chienne, salope et pute tout en me donnant des claques sur les fesses. Il est encore plus excité que d’habitude et c’est sans doute le fait que je sois travesti en putain, il fait très chaud et sous mon épaisse perruque et je suis dégoulinant de sueur. J’aime la façon dont il me chevauche, virile et presque violente, j’aime me sentir réduit à une simple chose sexuelle, une vraie pute quoi ! Cette fois-ci il préfère jouir en moi, c’est la première fois qu’il le fait, je sens alors le phallus vibrer dans mon ventre, il serre mon cul contre lui pour que son gland crache sa purée au plus profond de moi, il pousse des râles rauques et la décharge est longue et sans aucun doute abondante. Je jouis du cul comme jamais je n’avais encore joui, c’est vraiment un amant extraordinaire ! Il doit maintenant partir, il me laisse alors les vêtements féminins et je dois avouer que je suis resté jusqu’au soir ainsi habillé.Depuis une dizaine de jours nous nous voyons relativement souvent, je le sens de plus en plus excité et il faut bien avouer que je fais tout pour ça! Je me fais de plus en plus salope et chienne et je prends alors un plaisir croissant de rencontres en rencontres, maintenant il me gode et me fiste régulièrement et j’adore sentir sa main me pénétrer et se mouvoir en moi. Ce soir il me dit :— C’est la première fois que j’ai une aussi longue relation, d’habitude je n’ai que deux ou trois rencontres, ça intrigue ma femme et elle me pose des questions sur ce que nous faisons, d’habitude elle ne me parle jamais de mes relations masculines, j’ai même la sensation qu’elle voudrait assister et peut être plus, tu serais d’accord si j’essaie de la convaincre ? Moi ça m’excite un max !Je suis surpris de sa proposition et lui demande si ils ont déjà fait ce genre de partie.— Jamais, ma femme est assez vicieuse mais elle ne ma jamais parlé de partouze et avec des gosses c’est pas très simple de se libérer !Je lui donne mon accord. Trois jour plus tard Henri me donne un coup de téléphone.— Pour ma femme c’est O.K., elle est d’ailleurs à côté de moi, les enfants doivent passer le prochain W.E. chez ses parents, es-tu libre ?Je le suis et nous prenons rendez-vous pour samedi matin chez eux. C’est vers dix heures que j’arrive devant un coquet pavillon situé à la sortie de la ville, c’est Henri qui m’accueille, il fait déjà une chaleur étouffante et il est en maillot de bain, un beau maillot bleu qui moule son sexe à la perfection, à la limite de la décence. Je le suis dans le jardin situé derrière la maison, Colette est étendue sur l’herbe et à ma grande surprise elle est nue, le jardin est parfaitement protégé des regards indiscrets par un haut mur de clôture en briques. Henri m’avait déjà montré des photos de sa femme nue, Colette est une belle femme, elle est relativement grande, un peu plus que moi, elle a une poitrine lourde mais qui se tient malgré tout et un sexe aussi glabre que le mien. Elle se lève pour me saluer nullement gênée par sa nudité, Henri ôte son maillot qu’il avait uniquement mis pour me recevoir en bord de rue et je ne tarde pas à être moi-même dans le plus simple appareil, je ne peux dire que je sois totalement à l’aise quand le femme détaille mon corps et surtout mon sexe avec un certain amusement, il est vrai que ses dimensions sont loin d’être comparables avec celles du mandrin de son mari. Je n’ai jamais été complexé par la relative modestie de la taille de mon sexe mais c’est vrai que je trouve la situation actuelle à la limite de l’humiliation, elle me dit alors :— Elle est mignonne ta petite bite, tu es rasé en permanence ?Et tout en parlant elle pose sa main sur mon pubis à la peau lisse.— C’est doux, tu ne bandes pas ?Henri rit :— Attends un peu, il est un peu gêné sans doute et je t’ai déjà dit que ce n’est vraiment pas un hardeur !Tout en disant cela il prépare des boissons et nous asseyons sur l’herbe, Henri écarte les cuisses et commence à se caresser le sexe, Colette pose sa main sur ma cuisse et me caresse doucement, ses doigts glissent lentement vers mon sexe et je sens l’érection venir.— Henri m’a raconté comment tu le suces et le reste bien sur, j’aimerais bien voir tout ça et peut être même m’amuser avec vous.Sa main est maintenant sur ma queue bandée, elle la prend entre le pouce et l’index et commence à la branler. Elle fait doucement, presque avec tendresse, elle rit en regardant son mari :— J’ai l’impression de branler un adolescent !Cette remarque serait sans doute vexante pour n’importe quel homme mais je la prends presque comme un compliment. La queue d’Henri est maintenant en pleine érection, elle est allongée sur son ventre et le gland turgescent brille comme une belle pomme. J’ai une envie folle de le sucer mais Colette continue de me caresser sous le regard amusé de son mari, je commence alors à trouver la situation de plus en plus agréable et je me sens de mieux en mieux, je m’allonge alors pour offrir mon corps aux caresses de Colette. Visiblement elle y prend un grand plaisir et tandis que sa main droite continue la branlette la gauche glisse sur le reste de mon corps et me titille la pointe des seins, je vais jouir. Un premier jet abondant et puissant s’écrase sur ma poitrine, elle me caresse alors les couilles en me finissant, j’ai une belle décharge grasse, épaisse et très blanche, Colette nevşehir escort bayan sourit et avec ses doigts étale mon foutre sur mon ventre.— Maintenant montre moi commence tu pompes !Je me pose à quatre pattes entre les cuisses d’Henri le cul dressé vers le ciel, ma position obscène semble bien plaire à Colette car je sens ses doigts glisser entre mes fesses et Henri l’ayant sans aucun doute mis au courant de mes capacités anales c’est sans hésiter qu’ils me pénètrent. Tout en faisant elle me regarde pratiquer ma pipe et mes caresses sur le sexe de son homme, tandis que je suce je sens ses doigts qui travaillent doucement ma rondelle, elle les lubrifie maintenant pour mieux les enfoncer. Me voici maintenant pris en sandwich, ne n’est certes pas la première fois mais d’habitude ce n’est pas une main de femme qui me défonce le cul !Tandis que je suce je sens parfaitement la main qui progresse, elle est moins épaisse que celle d’Henri et c’est sans grande difficulté qu’elle entre jusqu’au poignet, je ressens alors un plaisir indescriptible, une immense jouissance me parcourt alors le corps et telle une énorme bite la main et une partie de l’avant bras vont et viennent maintenant en moi. Colette est très excitée et tout en me fistant elle se caresse et pousse des gémissements de plaisirs, Henri retire alors sa bite de ma bouche, “Reste comme ça je vais m’occuper de ton cul!”, et à sa femme, “Maintenant que tu as bien préparé sa rondelle je vais te montrer comment j’enfile cette chienne !” Elle retire son membre et c’est celui plus viril de son mari qui s’engouffre en moi.— Salope, chienne, putasse! Prends bien ma grosse bite dans ton trou à merde !Colette rit de me voir ainsi défoncé et secoué tel un pantin, jamais il ne m’avait baisé aussi sauvagement, la présence de sa femme décuple sans doute son ardeur, elle est également de plus en plus excitée et elle me présente alors sa moule pour que je la suce, elle a un long et épais clitoris et je le prends tout de suite entre mes lèvres. La femme mouille un maximum et la sueur fait ruisseler les lèvres pendantes, elle pousse maintenant des cris et des gémissements de plus en plus saccadés, soudain elle s’écroule le corps secoué de spasmes violents, elle a un orgasme extrêmement démonstratif ! Henri se retire et jouit dans ma bouche sous le regard encore mouillé de Colette. Nous reprenons notre souffle et Colette s’exclame :— Une sacrée baise quand même ! C’est vrai que c’est une sacrée salope ce mec, je n’aurais jamais pensé qu’un mec puisse se comporter ainsi comme une vraie chienne !— Je te l’avais bien dit, on n’a pas fini de s’amuser ce week-end ! Ça m’a donné faim !Il est un peu plus de midi et Colette installe un petit pique-nique dans le jardin.Henri et Colette (2)Nous commençons bien sûr par un apéritif, Colette et Henri s’avèrent donc de bons buveurs et comme je ne crache pas non plus sur les bonnes choses c’est au bout du troisième Ricard que nous commençons enfin à manger les buffets froids, le tout évidemment abondamment arrosé ! Si pour moi comme pour la plupart des hommes l’alcool diminue les possibilités d’érection il n’en est rien chez Henri, il arbore en permanence un arrogant mandrin au gland plus luisant que jamais, j’en suis encore impressionné !Quand il se lève et marche je regarde la longue et puissante queue qui se balance doucement, tout en mangeant je la caresse et la suce sous le regard amusé et quelque peu excité de Colette, elle me caresse le cul et le sexe en tentant en vain d’obtenir une érection et je me sens de plus en plus “gai” pour ne pas dire plus.En riant aux éclats elle sort alors de la glacière une mortadelle de belle taille, elle me fait poser à quatre pattes et commence à m’introduire l’énorme saucisson de près de 50 centimètres de longueur, je suis très large mais je le sens quand même passer !A vrai dire nous avons déjà descendu trois bouteilles de Beaujolais et ils sont bien mûrs mes deux amis, l’alcool inhibe maintenant tous sentiments de respect et de pudeur, pour eux comme pour moi et je sais que l’après midi va être brûlant.La bouche remplie par les couilles de l’homme je sens que Colette veut absolument m’enfoncer entièrement la mortadelle jusqu’au plus profond de mes entrailles, ceci dit le l’ai déjà fait mais seul on maitrise la progression et éventuellement la douleur, ce qui n’est pas le cas présentement !Je sens alors nettement que l’objet pénètre mes intestins, Colette s’interrompt quelques instants pour boire un grand verre de vin et remet ça de plus belle, trop occupé à sucer son mari je ne la vois pas mais je la devine de plus en plus excitée et soudain elle hurle,— Voilà !D’un violent coup elle a réussi et je le sens vraiment passer ! Je porte alors ma main à mon anus et effectivement je ne sens sous mes doigts que l’extrémité arrondie de la mortadelle, la dernière fois que je l’avais fait je n’avais pas pu dépasser les trois quart! Je la sens parfaitement en moi quand elle me demande de marcher j’ai quand même du mal à me relever, ils sont morts de rire quand ils me regardent déambuler en canard les cuisses écartées, enfin je sens que l’objet étranger glisse doucement hors de moi.Il tombe sur l’herbe, il est légèrement maculé et Henri m’ordonne de le nettoyer, si je pratique et aime l’urolagnie je n’ai jamais été particulièrement attiré par la s**tologie, en état normal je pense que j’aurai d’abord tenté de refuser mais je ne le suis plus trop, il m’impose maintenant de me mettre à quatre pattes tel un chien pour lécher la mortadelle. Me voici donc à nouveau le cul largement ouvert et parfaitement ouvert à d’autres jeux. Tandis que je lape les morceaux d’excréments je vois Colette qui se révèle finalement assez sadique prendre des oeufs durs… Je me suis déjà rempli le rectum de petites saucisses apéritives ou d’olives mais je n’avais jamais penser à essayer l’oeuf !Ils sont maintenant positivement ivres, je suis encore un peu plus lucide mais je ne suis plus quand même en état de résister ou de refuser leurs pratiques démoniaques. Finalement c’est à peine si je suis dégoûté par la matière que je lèche, elle a une saveur spéciale, indéfinissable et très amer, Colette a maintenant le rire caractéristique d’une personne ivre et commence même à avoir des difficultés d’élocution, et il n’est pas quatre heures de escort nevşehir l’après midi !Elle enfonce d’abord ses doigts dans mon cul pour élargir davantage l’ouverture et je sens qu’elle fait glisser le premier oeuf et c’est comme si je le gobais… Henri est maintenant affalé dans un fauteuil en rotin, il regarde la scène d’un air goguenard un verre de cognac à la main, il ne bande plus et sa longue queue molle pend doucement , le gland touche presque l’herbe! Finalement elle en glisse six et je suppose que si elle pouvait en avoir d’autres elle aurait continué, j’ai fini de nettoyer la mortadelle et c’est maintenant un cul parfaitement cambré que j’offre à ses délires. En riant, un rire gras et d’une voix pâteuse, Henri lui dit :— Maintenant t’as plus qu’à rajouter la mayonnaise et des feuilles de salade !Elle éclate de rire et sans hésiter m’enfonce le tube de mayonnaise dans l’anus, je sens alors la sauce qui coule en moi, elle est très fraîche mais le contact avec la muqueuse est quand même assez douloureux, ça me brûle un peu mais quelque peu inconscient je la laisse continuer en gémissant malgré tout. Elle vide le tube puis enfonce des feuilles de salade, et ma rondelle est à présent tellement dilatée que c’est à peine si je me rends compte qu’elle enfonce sa main à l’intérieur, je sens alors les oeufs qui roulent sous ses doigts, sur l’instant je ne prends pas conscience des risques encourus par ces pratiques et ce n’est que rétrospectivement quelques jours plus tard que j’en ai réellement pris conscience. Quand elle sort sa main c’est presque instantanément que je relâche une bouillie d’oeufs et de mayonnaise, elle la reçoit dans un saladier et elle dit :— Maintenant faut nettoyer le mixer !En titubant elle va vers le robinet d’arrosage, branche le tuyau et ouvre l’eau, elle et son mari semblent vraiment s’amuser et finalement moi aussi ! Quand elle enfonce l’embout c’est un bouillonnement terrible qui se produit dans mon rectum, l’eau fraîche calme vite la sensation de brûlure et je ressens un bien immense, de plus par une chaleur pareille une douche anale n’est pas désagréable ! J’aime me faire des lavements, au début avec l’embout la pomme de douche j’arrivais à garder l’eau un moment pour la faire jaillir mais depuis longtemps mon anus est trop dilaté et l’eau ressort aussitôt et c’est ce qu’il se passe en ce moment bien que l’embout du tuyau plus épais bouche mieux l’orifice.Je m’écroule sur le dos dans l’herbe mouillée un peu épuisé par tout ce que je viens de subir et comme de bien entendu Colette s’accroupit au dessus de ma bouche, je ne me suis jamais fait pissé dessus par une femme et c’est impressionnant de voir jaillir de tels flots de liquide, elle écarte ses lèvres avec ses doigts et je peux parfaitement voir l’orifice d’où se déverse dans ma bouche l’odorant liquide, avec tout ce qu’elle a bu l’urine est très chargée, d’un jaune ocre et elle a un goût salé très fort. J’en bois le maximum mais la quantité est trop importante et ma tête baigne maintenant dans une boue de pisse mélangée à la terre.Lorsqu’elle a terminé c’est bien sûr au tour d’Henri mais évidemment Colette a de nouveau une idée sadique, elle me fait retourner et c’est mon visage qui est maintenant dans la boue, elle me fait soulever le postérieur et m’ouvre le trou avec ses doigts puis elle invite son mari à pisser dans mon rectum. Je sens alors le liquide chaud me remplir, il pisse lentement si bien que l’urine coule parfaitement dans la poche anale et j’ai l’impression qu’elle y reste même. Effectivement lorsque je me redresse je peux sentir et voir l’écoulement…Pour terminer l’après midi nous dégustons la bouillie d’oeuf mayonnaise façonnée dans mon cul, une petite halte qui permet à mon cul de prendre un peu de repos, si bien entendu je n’ai pas bu une goutte d’alcool durant tout le temps de mon travail anal mais ce n’était pas le cas de mes amis, Colette est bien plus bourrée que son mari et je redoute la suite si elle résiste au sommeil !Elle me fait mettre à quatre pattes à ses pieds, je suis sale, mes cheveux sont gras et mélangés à la boue pisseuse presque sèche, ma peau est maculée de terre, d’herbe et de foutre séché, elle me tripote alors dédaigneusement les fesses et la raie du cul avec le bout de son pied, de temps en temps elle glisse son gros orteil dans mon anus en poussant des ricanements, Henri vient s’agenouiller devant moi, il a la bite bien raide, je me demande comment il peut encore bander après avoir bu autant d’alcool ! Bref j’entame ma fellation et Colette entreprend de me bourrer le cul avec son pied.— Salope de chienne ! Tu n’es bonne qu’à te faire défoncer par un pied gluant de pisse !Elle enfonce facilement ses orteils et je les sens remuer en moi, elle s’est assise pour pouvoir exercer une pression plus forte et je devine facilement la scène quand son pied glisse doucement en moi, c’est la première fois que je subis ce traitement et je ne sais si c’est possible mais… vu mon état actuel je suis loin de penser à ça! Je sens maintenant qu’il se redresse dans mon rectum et le talon force nettement pour entrer, je ne souffre pas mais je sens bien la progression et la pression dans mes entrailles déjà bien malmenées depuis le début de l’après-midi.Soudain c’est comme si on me déchirait, je sens le pied glisser d’un seul coup, c’est une sensation terrible et je pousse un cri rauque très puissant, je m’écroule haletant entre les cuisse d’Henri le cul dressé vers Colette, elle rit :— T’as vu mes nouvelles pompes? Elles sont super confortables !Henri se relève pour examiner de plus près la chose, il rit.— C’est pas vrai, ce mec est un vrai tunnel de chemin de fer ! Je t’avais bien dit qu’on allait rigoler !Elle garde quelques minutes le pied dans mon cul en m’obligeant à rester dans mon humiliante position, de toutes façons je ne peux en prendre d’autres car au moindre mouvement le membre enfoncé me fait trop souffrir. Elle le retire enfin et je m’étale sur le sol complètement groggy par l’alcool et par ce qu’elle vient de me faire subir.Il fait nuit lorsque j’émerge, je m’aperçois que je suis maintenant attaché sur une table jambes et bras en croix, je dois être dans le garage, un grand silence règne dans le local mal éclairé par une lampe à bout de fil qui diffuse une lumière glauque, je me demande alors ce qui va se passer maintenant, je suis un peu dégrisé et si je n’ai pas vraiment peur je ressens malgré tout une sensation de crainte.Je pense qu’ils doivent cuver leur alcool dans la maison, je ne sais quelle heure il peut bien être mais je n’ai plus sommeil.
Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32